Genoux à bascule

Lundi 31 octobre, bébé : début de quatre-pattes. J’ai bien vu mon copain chez Tata, il met ses genoux sous son ventre. Mais pour l'instant, une fois les genoux en place, je n’arrive qu’à faire un peu d'avant-arrière, mes fesses balancent et la position devient vraiment branlante ! Ouh ! Là, je retends vite mes jambes pour ne pas rouler ! Voir en image !

Plein de monde

Dimanche 30 octobre, on se rattrape pour l’anniv de papa avec tous ses amis !

Inondation

Jeudi 27 octobre,  maman : quarante ans de papa et sept mois de bébé. Mais ces anniversaires vont passer à l’as à cause de l’explosion d’une vanne l’avant-veille devant notre immeuble, suivie d’un geyser d’un mètre de haut pendant deux heures, suivi de l’inondation de notre immeuble, suivie d’une évacuation précipitée par les pompiers et la police pour risque d’écroulement de l’immeuble. Même si nous sommes retournés dans nos pénates le lendemain soir, papa a le droit comme cadeau d’anniversaire à une douche froide et on s’inquiète plutôt pour l’ascenseur, les caves, le vide-ordure (si, si c’est bien pratique surtout quand y a pas d’ascenseur) et le parking (mais heureusement papa avait sorti la voiture à temps) qui ne seront pas accessibles avant plusieurs jours (mois ?) car complètement inondés.

Grande prison

Mardi 25 octobre, bébé : le salon s’est transformé en immense parc. Le parc octogonal, une vraie prison, a été séparé en quatre morceaux égaux (je laisse aux matheux le calcul de l’angle que font les deux parties qui restent entre elles dans chaque morceau). Chaque morceau a été placé devant les espaces du salon « dangereux ». Chouette, je peux me promener partout ! Voir si ça tient… A suivre…

Record battu

Lundi 24 octobre, papa : les réveils n’ont pas sonné ce matin. Un parce que trop intelligent (téléphone de papa réglé sur la date du 24 octobre 2010 et non 2011 qui est un dimanche et qui donc n’a pas sonné car ne sonne pas les week-ends), l’autre (humain de petite taille) parce que fatigué. En trente minutes, jamais arrivé jusque-là, bébé, papa et moi étions prêts pour la nounou et le travail (respectivement… euh ! Ah ! Non l’inverse) ! Nous sommes assez fiers de nous :).

Que du bonheur

Dimanche 23 octobre, maman : dimanche, première grasse mat depuis six mois, réveil 9h30 de tout le monde au lieu de 7h (ou même 6h30 certains jours par quelqu’un que je ne nommerai pas (juste un indice il est jeune, très jeune).

Loulou peut jouer tout seul pendant quinze à trente minutes. Et puis quand il veut quelque chose (couche sale à changer, tétine, manger, dormir et même câlin), il rampe sans rien dire jusqu’aux pieds de papa ou des miens et vient se frotter sur la jambe du pantalon (même si les jambes sont tendues loin devant la tête) en essayant de lever très fort sa tête pour voir si réaction il y a (si pas de réaction, il grogne). Trop mignon !

Elle a osé, je me venge

Samedi 22 octobre, maman a osé compter les secondes de câlin. 7h16, au réveil, deux secondes. 10h32, juste avant de me coucher, je veux bien douze secondes (oui incroyable, douze secondes c’est énorme) de câlin. 11h23 fin de la sieste, deux secondes de câlin. 14h02, deux secondes de câlin avant la sieste. 16h20, j’ai bien mangé, huit secondes de câlin. 20h40 juste avant la nuit, trois secondes de câlin.

Au total aujourd’hui donc vingt-neuf secondes. Trop, c’est trop ! J’ai trop d’autres choses à faire que câliner maman en manque. Comme faire le tour de la pièce pour vérifier s’il y a changements, vérifier si papa est là avec ses drôles de zoreilles (ndlr écouteurs), chercher avec quoi je pourrais jouer, essayer de faire gratte-gratte avec mon rideau, essayer de descendre et de grimper sur Napoléon,… C’est pour ça que les câlins de front me vont mieux, ils me laissent un champ de vision à 45° et -45°. Car sinon je veux bien être dans les bras tant que je peux voir partout et j’adore qu’on me fasse plein de bisous dans le cou, sur le ventre, les cuisses, les pieds,… mais si ça se trouve je rigole juste pour faire plaisir à maman, elle ne saura jamais, hé hé !

Baby-blues, trop classique

Jeudi 20 octobre, papa a remarqué que maman ne fait pas de baby-blues mais du kayak-blues.

Je grimpe, facile

Mercredi 19 octobre, comme je suis grand ! Avant, j’étais bloqué entre les bourrelets de ma table à langer. Maintenant je monte dessus, c’est de la gnognotte ! Et c’est rigolo, j’ai accès à plein de trucs, genre le robinet, le savon, les médicaments (mais tiens, ils se sont éloignés). Papa et maman ont rigolé aussi… la première fois !

Plus lentement

Lundi 17 octobre, y aurait pas des tétines vitesse 0.5 ? Car à vitesse 1 je m’étouffe ! Paraît-il que je suis glouton !

Je peux vous taxer une ... couche

Samedi 15 octobre, bébé-nageur à fond avec deux séances par semaine. Au début tout timide, maintenant, je tape dans l’eau avec les mains, attrape des ballons, rigole sous la douche et n’ai pas peur de mettre la tête sous l’eau ! Pour les parents c’est un peu une séance ce Thalasso, dans cette eau à 32° (avant que les bébés s’y plongent, 33° à la fin de la séance, grâce à leur pipi ?). Et puis on fait comme les fumeurs en fin de séance, on taxe. Non pas des cigarettes, mais … des couches ! 

Fait maman qui fait

Lundi 10 octobre, Maman aime bien faire des bruits d'animaux pour me faire rigoler. "Meeuuuh" fait la vache, "Oink oink" fait le cochon. Et papa de corriger en aparté derrière : "fait maman qui fait le cochon". "Non mais !" s'offusque maman !

Mon chéri

Jeudi 6 octobre, vous vous êtes entendu appelé « mon chéri » avec une petite voix par maman ? Eh oui, c’est le réflexe de cinq mois entiers passés avec moi. Il était grand temps que maman voie plus souvent des adultes.

Bof bof, leur conversation

Lundi 3 octobre, conversation avec la nounou : “Il n'est pas malade ?" "Il a bien dormi ?" "Il a fait caca ?" "Il a bien mangé". Et la conversation est animée de "oooohh" ou bien "aahhhh" par la nounou ou les parents ! Moi-même allant très bien, les réponses ne varient pas beaucoup, et c’est pas en les écoutant que je vais apprendre à parler.

Les pieds et les oreilles

Samedi 1^er octobre, c’est définitif, je ressemble à papa. Mais maman se rassure, papa ne l’a pas trompée, j’ai les pieds et les oreilles de maman. 

Je mange bien mes petits légumes et fruits, mais ça nourrit pas son homme, j’aime mes protéines du biberon !